Auteur/autrice : Paul A. Garance (Page 4 sur 6)

Erwan, l’elfe au canard

Couverture du livre "Erwan l'elfe au canard"

Erwan l’elfe au canard

Résumé

A ses 10 ans, Erwan, un elfe, va enfin découvrir son animal totem, une créature magique qui deviendra son plus fidèle compagnon toute sa vie. Est-ce que ce sera un dragon ? Une licorne ? Hélas ! C’est un canard ! Toute l’école des elfes se moque de lui. Honteux, Erwan s’enfuit et se perd…

Il va alors rencontrer de nouveaux amis : un nain qui préfère les livres aux pierres précieuses, une sorcière férue de nouvelles technologies, et une humaine en fauteuil roulant, championne de natation.

Tous ensemble, ils vont aider Erwan à se réconcilier avec son canard qui pourrait bien réserver quelques surprises.

Éditeur : Books On Demand / ISBN : 9782322399949

136 pages / Prix unique : 10,55€ TTC

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Autobiographie

Été 1980 : l’air revigorant des montagnes de Haute-Savoie inspire mes parents. Que dire de plus  ? Si ce n’est “bonne idée”.

21 Mai 1981 : François Mitterand entre à l’Élysée avec une rose rouge à la main. Une journée pleine d’espoirs et de promesses. Encore une fois, c’était une bonne idée, de naître ce jour-là.

1984 : plus que le titre d’un livre culte, 1984 signe ma première rentrée. Bonjour l’école ! Un océan de savoirs s’ouvre devant moi ! Bon. On découvre aussi que je suis malentendant donc l’apprentissage du langage et donc de la lecture prendra un peu plus de temps. Heureusement, grâce à la persévérance de mes orthophonistes, je rattrape vite mon retard.

1989 : mes parents, toujours aussi bien inspirés, m’inscrivent au théâtre. En effet, j’adorais donner des petits spectacles à ma famille dans notre salon. Encore une fois, c’est une très bonne idée. Le début d’une passion qui ne me quittera plus.

1992 : je suis en cm2. Un devoir de rédaction va me marquer à vie. Rien de bien palpitant à première vue : je devais raconter une séance de gymnastique que nous venions de faire en classe. Cette rédaction n’était pas dénuée d’humour, je me souviens, quand j’évoquais le cerceau qui revenait vers moi après l’avoir lancé grâce à un subtil mouvement de la main. La maîtresse a tellement apprécié mon travail qu’elle a lu devant toute la classe. Vous imaginez ma fierté ! Si vous me demandez à quel moment j’ai eu envie de devenir écrivain, ne cherchez pas plus loin. C’est pile ce moment-là.

Paul A. GaranceAnnées collège : je m’essaie à la bande dessinée. Une sombre histoire de brèche entre le monde imaginaire et le monde réel qui menace d’entraîner le chaos absolu. Rien que ça.

Années lycée : mes cours préférés ? Le français et la philosophie, sans aucun doute. J’adore écrire, quel que soit le sujet. Les professeurs n’hésitent pas à m’encourager. Je me rappelle le clin d’œil que m’a adressé mon professeur de français en disant qu’aujourd’hui nous manquons d’auteur de théâtre. Par ailleurs j’écris des nouvelles et des poèmes dans “Sic”, un journal littéraire de joyeux dilettantes. Dans une association de malentendants, j’écris des articles et joue le rédacteur en chef de notre journal interne.

2000 : premier gros travail d’écriture. J’adapte Le Cercle des Poètes Disparus en pièce de théâtre en deux actes. Je mets en scène ma création avec mon groupe de théâtre du lycée, tout en y jouant le professeur Keating. Je présente mon travail au Bac, en candidat libre à l’option Théâtre. Jouer sur scène ma première création est une belle manière de dire adieu à mes années lycée. Carpe Diem.

Le Cercle des Poètes Disparus

Dieu que cette scène me prend aux tripes à chaque fois !

2000-2001 : je contribue à un journal d’étudiants parisiens, distribué dans plusieurs universités, appelé Le Souffleur réalisé par l’association Étudiants & Théâtre. Le bon plan de mes rêves  !  J’allais au théâtre gratuitement deux fois par semaine, et j’écrivais mes critiques dans le journal. Cela m’a permis au passage de fêter mes 20 ans sur la scène du Théâtre du Rond Point lors de la soirée de remise des prix, sous le parrainage de Charles Berling en personne. Pas banal comme anniversaire.

2002 : je découvre un jeu de nations virtuelles sur internet, appelé Alliance. Le but est d’imaginer un pays qui prend place dans une mappemonde évolutive et un niveau technologique imposé, de créer son site web, d’y détailler son histoire, sa culture, sa Constitution, etc. Les échanges avec les autres pays/joueurs se font par mail sous forme de jeu de rôle : chacun incarne le président, le roi, voire l’empereur, ou plus simplement des ministres, ambassadeurs, etc. C’est là que se met en place le monde imaginé pour mon premier roman, La Terre des centaures. Je vous en parlerai plus tard. Promis.

Paul A. Garance2003 et 2004 : je participe au Prix Oxford du Scénario, dont le but est d’écrire un scénario de court-métrage sur un thème donné. J’ai la joie d’être sélectionné deux années de suite parmi les 15 finalistes, et finir 4e en 2004. Si je ne suis pas parvenu à accéder au 1er prix, je suis néanmoins heureux d’avoir réalisé l’exploit d’être sélectionné deux fois de suite. Et cela m’a permis en 2004 d’avoir une conversation avec Patrice Leconte himself, président du jury, qui m’a assuré que mon scénario a bien failli l’emporter et il m’a donné de bons conseils pour la suite : “ne pas tout dire, faire confiance à l’image”.

2006 : j’entame l’écriture de mon premier roman, La Terre des centaures, qui ensuite demeurera longtemps inachevé dans un coin de mon disque dur. Néanmoins, je continue d’exercer ma plume sur les forums de RPG (Role Player Gaming) où des fans d’Harry Potter se regroupent, incarnent un personnage à Poudlard et le font vivre en interaction avec d’autres joueurs/personnages en écrivant leur histoire à plusieurs mains. C’est ici que je rencontre celle qui deviendra ma femme deux ans plus tard.

2009 : ma femme, découvrant toutes mes notes prises autour de La Terre des centaures m’encourage à poursuivre l’écriture de mon roman. Je l’achève en 2010, année de naissance de mon premier fils, Lucas (qui d’ailleurs porte le nom d’un de mes personnages).

2011 : dans le cadre du Tandem Jeunesse, mettant en relation des auteurs et des illustrateurs chaque année sur un nouveau projet, j’écris Erwan, l’elfe au canard, illustré par Léa Fabre.

Paul A. Garance2012 : après bien des refus de maisons d’édition et une réécriture complète de mon manuscrit, La Terre des centaures est enfin sélectionné et publié sous forme d’ebook par un éditeur numérique.

2014 : après la cessation d’activité de mon éditeur, je tente de faire rééditer La Terre des centaures. Dépité par des arguments de refus comme “votre livre a déjà été vendu ailleurs, c’est du chiffre d’affaires en moins pour nous”, je décide de tout prendre en main : je crée les Éditions Callisto. Étant polyvalent, issu des métiers de la communication et de l’infographisme, je me sens à l’aise dans cet exercice. C’est une expérience extrêmement chronophage, mais qui m’offre, d’une part, une totale liberté créative et, d’autre part, un rapport privilégié au lecteur. Encouragé dans mon choix, Erwan l’elfe au canard et L’Héritage des centaures sont également publiés aux Éditions Callisto, suivis des Jeux Fantastiques en 2017.

2019 : Retour à mon premier amour, le Théâtre. Dirigeant la troupe amateur La Comédie Braspartiate, je réécris pour mes comédiennes et comédiens une pièce que j’avais déjà produite il y a quelques années pour des lycéens : Tohu-bohu. En 2020, le livre est publié. C’est ma première pièce de théâtre officiellement éditée. Il était temps !

La suite ? Seul l’avenir nous le dira.

Nouvelle “L’Homme aux cent visages” : l’avis des lecteurs

Recueil Des Visages

⇒ Cette nouvelle est disponible à la lecture ici : cliquer ici pour la lire.

Mes petits bonheurs : J’avais été conquise par La Terre des Centaures et à nouveau je me suis laissée emporter par cette histoire. Bon elle fait un peu froid dans le dos, notamment certaines descriptions car ici aussi on a affaire a un tueur en série quelque peu sadique mais en même temps j’ai aimé comment sont traités les émotions. On sent beaucoup d’amour entre père et fille (ou fils sans vouloir dévoiler l’intrigue), beaucoup de regrets, d’amertumes… Un mélange des genres qui m’avait déjà beaucoup plu dans ma précédente lecture de l’auteur. En lire plus

Le blog de Luna : Ben, voilà. Paul A. Garance à fini de me convaincre avec cette nouvelle: elle est un peu inquiétante, très intrigante et surtout émouvante. C’est le genre de texte qui peut plaire à tout le monde sans pour autant être commun. En quelque sorte, il y a un côté à la Musso dans ce texte et je trouve ça très agréable. En lire plus

“Erwan, l’elfe au canard” : l’avis des lecteurs

Livre Erwan, l'elfe au canard

La Lecturienne : Ce livre incite le lecteur à cultiver sa différence, à se distinguer des autres et à rechercher et apprécier les différences et les caractéristiques des autres. Ce genre d’ouvrage est bon pour le moral et pour l’estime de soi, il nous aide à nous remettre au centre de nos vies, en nous ouvrant la porte du monde des possibles et celle des rêves. Ce livre est une ode à la différence (…) C’est un texte qui fait grandir son lecteur, que celui-ci ait 7 ou 77 ans. Il est à mettre entre toutes les mains, car il est amusant, léger et pourtant riche en enseignements. Je ne pense pas qu’il puisse laisser qui que ce soit indifférent. En lire plus

OpheChups : Un superbe ouvrage, facile à lire, mignon, très bien réalisé, prenant, parfois touchant, accessible à tous (adapté aux dyslexiques), qui a toute sa place désormais dans ma bibliothèque. En lire plus

Sharon : Erwan, l’elfe au canard emprunte à la fois au conte qu’il revisite avec bonheur, et au classique de la fantasy. Il est aussi facile à lire, non seulement grâce à la mise en page, mais aussi au vocabulaire et à la syntaxe utilisés, simples sans être simplistes. Un joli moment de lecture. En lire plus

Aelynah : Paul A.Garance a su en nous entrainant à la suite d’Erwan nous montrer les problèmes que peuvent rencontrer tout enfant hors norme, qu’il soit dyslexique, ou simplement différent. Il a su trouver les mots pour qu’au fil de l’histoire le petit lecteur s’identifie à Erwan ou aux autres personnages et apprenne à évoluer, accepter ses différences ou celles des autres mais surtout comprenne le mal que cela peut faire de rejeter ce ou ceux qui ne sont pas comme les autres.
Au travers d’une histoire attendrissante et magique, l’auteur nous donne une leçon de vie accessible autant au jeune lecteur qu’à l’adulte qui lui lira. En lire plus

Kary bouquineuse : J’ai adoré le thème abordé ! D’être rejeté à cause d’une quelconque différence est malheureusement encore d’actualité aujourd’hui. La légèreté et la simplicité avec lesquelles l’auteur aborde ce sujet est génial. Petits comme grands, on peut s’identifier dans ses 4 personnages aussi attachants les uns que les autres. Peut-être que certains peuvent également s’identifier parmi ceux qui se moquent, et se rendront compte de la méchanceté dont ils peuvent faire preuve au quotidien. Dans tout les cas, le sujet amène à la réflexion et à la remise en question.
J’ai vraiment apprécié cette lecture censée et touchante et j’espère qu’elle vous touchera autant que moi. En lire plus

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